Jean NIPPERT (diplômé 2019)

Doctorant à l’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien (Strasbourg)

J’ai commencé mon parcours universitaire en double licence physique et sciences de la Terre. Je ne suis pas allé au bout de la double licence car on m’avait présenté le magistère de physique fondamentale et que je voulais clairement m’orienter vers un master de physique puis éventuellement  une thèse. Le magistère m’a été présenté comme un formation d’excellence qui nous offrirait des outils supplémentaire afin d’avoir toutes les clés pour accéder au doctorat. Pas de surprise…, la formation respectait parfaitement sa description, on a pu accéder à des enseignement plus développés en mécanique quantique et physique statistique ainsi que des ouvertures vers divers sujet au travers d’options supplémentaires.

 
En M1, une idée de participer au French Physicists Tournament a été lancée par le corps enseignant (https://france.iptnet.info). Seuls des étudiants du magistère de physique fondamentale ont osé se lancer dans l’aventure. Et celle ci a été très enrichissante nous a permis de former un groupe très soudé. Outre ce tournoi de physique, cette année a été charnière pour le choix de spécialisation en M2. Ici encore les enseignements supplémentaires sont d’une grande aide pour faire le tri entre tous les sujets très intéressants proposés dans les différents M2 à Strasbourg.
 
J’ai ainsi décidé de me spécialiser en Physique Subatomique et Astroparticule dans l’optique de faire une thèse de physique nucléaire. Aujourd’hui je suis étudiant en thèse à l’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien en physique nucléaire d’intérêt astrophysique où je travaille sur l’impact des réactions de fusions par effet tunnel quantique sur le cycle de vie des étoiles massives.